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Arnold Rothstein, un fils de bourgeois devenu parrain de la pègre

Parfois pour s’émanciper et réussir dans la vie, il faut sortir de son milieu quitte à régresser socialement quelques temps… C’est ce que montre Rich Cohen quand il évoque le parcours atypique du célèbre gangster, Arnold Rothstein (extrait de Yiddish Connection ci-dessous)…   « Arnold Rothstein était le fils d’un homme fortuné. Il avait grandi

Pourquoi la mafia juive américaine a disparu ? Comparaison avec la mafia sicilienne

 » Les Juifs ont précédé les Italiens en tout : ils les avaient précédé dans l’immigration, dans leur devenir de criminels organisés, et dans leur sortie même de ce crime organisé «   » La Mafia juive n’a jamais fait l’objet d’aucune transmission de pouvoir comme ce fut le cas dans le milieu italien. «   

Ces Juifs qui craignaient l’émancipation : l’exemple de la communauté séfarade de Bordeaux avant la révolution française

Les Juifs séfarades de Bordeaux ont été les premiers à profiter de l’émancipation des Juifs après la Révolution française. Pourtant, alors que Louis XVI entreprit une réforme  pour améliorer la condition des Juifs, les séfarades de Bordeaux redoutaient de perdre leurs privilèges, d’être confondus avec les autres Juifs du Royaume, sans toutefois souhaiter l’assimilation totale

Les raclées mémorables infligées par la mafia juive aux nazis américains dans les années 30

Extrait du livre de Rich Cohen, Yiddish Connection   Les gangsters, qui se souciaient surtout de s’enrichir, savaient que certaines choses n’avaient pas trait à l’argent. Ils savaient que la seule manière de se confronter aux nazis, c’était de les affronter dans la rue. Non seulement cette clairvoyance leur gagnerait l’admiration des gamins comme mon

Drogue et alcool dans les milieux juifs orthodoxes : Étude

Judaïsme, Juifs orthodoxes et usage de psychotropes : dynamiques internes et repères sociaux Amnon Jacob Suissa Dans Psychotropes 2006/1 (Vol. 12), pages 125 à 134   Idées principales de l’article: Les milieux juifs orthodoxes (traditionnels et modernes) ne sont pas épargnés par la drogue et l’alcool. Parfois, c’est la rupture avec la religion qui explique ces déviances. Se