Réflexions Archive
On m’a dit, on me dit toujours, et on me dira sans doute encore pourquoi s’occuper, aujourd’hui, de l’antisémitisme contemporain ? En cette époque si lisse ou les juifs jouissent d’une relative tranquillité, et ou les violences et les persécutions sont loin d’égaler, en intensité comme en étendue, celles du passé, proche et lointain ? Je réponds
Y-a-t-il un rapport entre judaïsme et modernisme et, par conséquent, entre antimodernisme et antisémitisme ? C’est ce que prétend Édouard Drumont, l’auteur de La France juive. Contre lui, Léon Bloy développe une critique primordiale du judaïsme tout en glorifiant le Christ comme Juif pauvre. En 1892,
Voici le scénario: deux étudiants juifs américains surdoués inventent un mécanisme basé sur l’intelligence artificielle afin de remonter dans le temps. L’objectif est noble: faire échouer la naissance d’Adolph Hitler pour empêcher l’avènement du nazisme et son cortège d’atrocités. Téléportés avant la naissance du monstre, nos étudiants mettent tout en œuvre pour qu’Hitler
Etre juif, c’est bien plus qu’un simple déterminisme religieux et culturel. C’est un constat dépassement de soi, une attitude permanente de défi des données sociales, culturelles, politiques, religieuses et psychologiques, une aspiration à une personnalité plus complète et plus épanouie. Le juif pauvre devient riche. Le juif riche est capable de se contenter de peu.
On considère le judaïsme comme un fait de race, on dit : « la race juive » ; on suppose, en un mot, que le peuple juif, qui, à l’origine, créa cette religion l’a toujours gardée pour lui seul. On voit bien que le christianisme s’en est détaché à une certaine époque ; mais on