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Être jeune, grec et juif : je me bats donc je suis

À Athènes, une petite communauté juive est déterminée à lutter pour soutenir une tradition vieille de 2000 ans. Dans le contexte d’austérité et de changement politiques actuels, la jeunesse grecque pratiquante est confrontée à une nouvelle vague de problèmes. Et malgré la hausse de l’émigration, la ville accueille de jeunes actifs, dont le rabbin d’Athènes âgé de seulement 26 ans.   La suite sur : https://cafebabel.com/fr/article/etre-jeune-grec-et-juif-je-me-bats-donc-je-suis-5ae00ae4f723b35a145e6e41/

Les Juifs ne sont pas déicides. Le document qui disculpe les Juifs

Pendant près de deux milles ans, la chrétienté a prétexté que son prophète, Yochoua, a été tué par les Juifs et elle a donné raison à l’antisémitisme chrétien.  En 1959, le pape Jean XXIII fait supprimer l’oraison selon laquelle les Juifs sont responsables de la mort de J-C. Mais voici, il y a quelques années,

Arnold Rothstein, un fils de bourgeois devenu parrain de la pègre

Parfois pour s’émanciper et réussir dans la vie, il faut sortir de son milieu quitte à régresser socialement quelques temps… C’est ce que montre Rich Cohen quand il évoque le parcours atypique du célèbre gangster, Arnold Rothstein (extrait de Yiddish Connection ci-dessous)…   « Arnold Rothstein était le fils d’un homme fortuné. Il avait grandi

Pourquoi la mafia juive américaine a disparu ? Comparaison avec la mafia sicilienne

 » Les Juifs ont précédé les Italiens en tout : ils les avaient précédé dans l’immigration, dans leur devenir de criminels organisés, et dans leur sortie même de ce crime organisé «   » La Mafia juive n’a jamais fait l’objet d’aucune transmission de pouvoir comme ce fut le cas dans le milieu italien. «   

Ces Juifs qui craignaient l’émancipation : l’exemple de la communauté séfarade de Bordeaux avant la révolution française

Les Juifs séfarades de Bordeaux ont été les premiers à profiter de l’émancipation des Juifs après la Révolution française. Pourtant, alors que Louis XVI entreprit une réforme  pour améliorer la condition des Juifs, les séfarades de Bordeaux redoutaient de perdre leurs privilèges, d’être confondus avec les autres Juifs du Royaume, sans toutefois souhaiter l’assimilation totale